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Je l’avais remarqué hier pendant la course, un léger clac à chaque tour de manivelle gauche. Mais dans le feu de l’action, j’avais d’autres préoccupations plus importantes. En reprenant mon vélo toute à l’heure pour aller faire tourner les jambes 1 heure, cela m’a tout de suite interpellé. Du coup demi-tour et démontage du boitier. En effet le roulement gauche était mort, heureusement j’en avais de rechange. Remontage, revérification de la pente du SRM avec la méthode des poids et je suis reparti faire le même tour de pâté de maison de 10 km autour de chez moi. Résultat 10 watts en plus pour la même fréquence cardiaque. Le SRM est très sensible au jeu dans les boîtiers de pédalier, c’est un des points faibles de ce système. Il est alors possible que pendant la course, les valeurs enregistrées aient été faussées ( ça sera dur de l’affirmer à 100%). Cela me conforte dans l’impression laissée hier d’avoir tout donnée sur 2 h et de n’avoir pas délivré plus de puissance que dans un entrainement classique.
Bon à savoir pour ceux qui utilise des SRM en tout cas, bien vérifier le boitier si doute dans les valeurs.

2 Comments

  1. Anonymous dit :

    Je crois que tu te trompes sur les moyennes de watts sur une longue durée (une course) car ils ne sont pas significatifs (ca depend des conditions de course et du profil…).Il faudrait isoler les watts développés sur des bosses courtes, moyennes, longues, cols… et la, tu pourrais comparer avec des entrainements.Ca s'appelle le PPR et ca te dresse un profil de watts (I3 = 270w, I4 = 310, I5 = 390, ect…).Et encore, il faut comparer ce qui est comparable (pas facile de realiser 5 ou 6 fois une bosse de 3 minutes en restant proche de I5, on s'use a force…)
    Bonne suite de saison.

  2. Alban dit :

    oui tu as parfaitement raison, on peut pas comparer une course à un entrainement par rapport à une puissance moyenne. Avec la fonction Normalized Power, on peut avoir cependant plus d'information sur les intensités et variations d'allures dans un entrainement ou course. Cependant cela reste global et rien ne vaut comme tu le dis une analyse fine pour déterminer son PPR. J'ai bien essayer de comparer mes puissances dans Rammersmatt au plus fort de la pente et sur 3 min. C'est le seul endroit de la course où on était assez abrité du vent et la pente importante pour pas trop être influencé par la protection d'une roue. Ceci dit j'ai bien 30 watts en moins même sur le premier passage par rapport à l'entrainement et en étant à fond aussi. Mais oui en course avec la répétition des efforts, le stress ( pour moi en tout cas), cela perturbe les comparatifs. On dit qu'il est parfois intéressant d'avoir un capteur de puissance en course pour ensuite analyser car on peut atteindre des puissances supérieures à l'entrainement. Pas pour cette fois me concernant!
    A bientôt.
    Alban

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